[60] La métaphore est infiniment heureuse car elle décrit ce rapport conjugal qui se fonde sur la protection mutuelle.
[61] On pourra s’interroger sur le sens d’un tel détail dans un verset qui parle des nouvelles lunes comme repères du mois de Ramadan et d’autres devoirs sacrés dont le pèlerinage. En fait, il s’agit d’une allusion aux pratiques antéislamiques qui consistaient, lors du pèlerinage, à entrer dans les maisons par les portes de derrière pour contourner le dogme interdisant de rentrer chez soi avant d’avoir terminé le rite. La leçon est claire : la vraie piété consiste à accomplir ses devoirs sacrés sans hypocrisie et en appliquant à la lettre les prescriptions religieuses.