[246] L’adultère ou la fornication.
[247] Selon l’avis unanime des savants de l’islam, ces deux derniers versets ont été abrogés par le verset 2 de la sourate 24.
[248] D’être à l’agonie, précise la plupart des exégètes, en s’appuyant notamment sur le verset qui suit immédiatement.
[249] Avant l’islam, les proches du défunt avaient tous les droits sur sa veuve dont ils héritaient littéralement puisqu’ils pouvaient l’épouser contre son gré, la marier de force à un autre ou encore lui interdire de se remarier (Tafsîr ibn Kathîr).
[250] Afin que, sous la pression, elles renoncent à tout ou partie de leur dot ou à l’un de leurs droits en contrepartie de la séparation (Tafsîr ibn Kathîr).
[251] Comme l’adultère.