[180] Nul ne devra rendre compte de ses mauvaises pensées. Ce verset abroge en effet, selon nombre d’exégètes, le verset 284 de cette même sourate.
[181] L’homme devra donc répondre uniquement de ses paroles et de ses actes, non de ses pensées.
[182] Les obligations religieuses imposées notamment aux juifs, selon certains commentateurs.