[640] Il est strictement interdit aux croyants de s’adonner à la fornication et à l’adultère. Le «Mauvais» qui a l’habitude de forniquer ne mériterait que d’épouser une fornicatrice et vice-versa. Un tel mariage ne saurait convenir aux croyants de par les suspicions et les accusations qu’il engendre. Il est cependant possible au fornicateur et à la fornicatrice de se marier, après s’être repentis.
[641] En cas d’affirmations contradictoires de l’époux et de l’épouse, la séparation judiciaire est prononcée; celle-ci a pour effet d’interdire toute éventuelle union dans l’avenir.