[1067] Allusion, selon les commentateurs, à un compagnon appelé Zayd que le Prophète avait adopté avant l’islam si bien qu’il était surnommé Zayd, fils de Mouhammad. Ce verset met donc fin à cette pratique répandue chez les Arabes.
[1068] En les appelant par le nom de leurs vrais pères.
[1069] Droit notamment à être obéi. Le croyant doit donc obéir au Prophète avant d’obéir aux autres et à ses propres passions. Autre traduction : le prophète est plus proche des croyants qu’ils ne le sont les uns des autres.
[1070] C’est-à-dire, qu’il ne leur est pas permis de les épouser après sa mort et qu’elles méritent le même respect que les mères des croyants.
[1071] Archétype ou dans le Coran.
[1072] A leur arrivée à Médine, les émigrés de la Mecque pouvaient hériter des musulmans de Médine qui les avaient accueillis (Ansars) au détriment des proches de ces derniers, en raison des liens de fraternité que le Messager d’Allah avait établis entre émigrés et Ansars (Tafsîr ibn Kathîr).