[122] L’emploi du plus-que-parfait se justifie ici par l’antériorité de la bataille de Badr par rapport à celle de ’Uhud à laquelle il est fait allusion dans le verset précédent.
[123] La parole est ici adressée au Prophète Muhammad (paix et bénédiction d’Allah sur lui). Ce n’est pas à lui de décider du sort des mécréants vainqueurs lors de la bataille de ’Uhud. Allah décidera de leur pardon ou de leur châtiment.