[321] Le Sâmirî, qui était doté de pouvoirs occultes, avait pris une poignée de terre sur les traces laissées par les sabots du cheval de l’Ange Gabriel. (Moujâhid, cité par Ibn Kathîr dans son Tafsîr, rapporte que le Sâmirî jeta cette poignée de terre sur les bijoux des Enfants d’Israël, lesquels bijoux fondirent pour prendre la forme d’un veau, un corps mugissant dont le son n’était rien de plus que celui du vent léger qui y pénétrait.)