[913] En présence de ce qu’il leur est interdit de regarder, comme les femmes.
[914] Le visage et les mains, selon certains exégètes, ou simplement leurs vêtements, selon d’autres pour qui ces paroles signifient donc : « que ce qui ne peut être tenu caché », c’est-à-dire, le grand voile qui recouvre l’ensemble du corps. Ces derniers considèrent donc que la femme doit couvrir son corps entièrement et ne laisser paraître que ses vêtements.
[915] Selon certains exégètes, cette expression, où le mot « charme » prend un sens plus large, signifie qu’elles ne peuvent retirer le voile (Khimâr) et le grand voile (Jilbâb), laissant donc paraître leurs cheveux et leurs bras par exemple, que devant les hommes qui vont être mentionnés tout en demeurant pudiques devant ces derniers, exception faite de leurs maris devant lesquels elles peuvent entièrement se dénuder.
[916] Musulmanes, précisent nombre de commentateurs.
[917] De sexe féminin, précisent certains commentateurs.
[918] En marchant.
[919] Comme les chaînettes que les femmes portaient alors aux pieds et dont elles voulaient ainsi faire entendre le son.